Nombreux sont ceux qui se demandent : quel est l’état de santé actuel de la vie consacrée ? Et nombreuses sont aussi les réponses à cette demande. Tout dépend de qui pose la question et de qui répond. Beaucoup dépend aussi du regard que l’on porte sur la vie consacrée et des jugements et préjugés de départ.
Pour ce qui me concerne, je ne prétends pas donner une réponse objective et convaincante à cent pour cent. Et je prétends encore moins apporter une réponse innovante. Je pécherais par présomption. Ma seule intention, et peut-être ma prétention, est celle de proposer une réponse qui puisse, avec beaucoup d’autres, s’approcher de cette forme de vie chrétienne qui est au cœur même de la vie de l’Eglise et qui cherche, non sans peine, à cheminer au milieu d’une société toujours plus sécularisée et dans une Eglise qui ne l’accueille pas toujours pour ce qu’elle est réellement mais plutôt pour la main-d’œuvre qu’elle représente.
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