la Commission
Reconnaissance et Réparation

Dans le cadre de l’engagement pris lors de l’assemblée générale des 19 et 20 avril 2021 en faveur de la justice réparatrice et du travail mené par la Corref depuis plusieurs années, dans l’écoute du rapport de la Ciase, la Corref a voté la mise en place de cette commission.

Cette commission est « tiers de justice ». Les décennies passées nous ont montré l’impossibilité de demeurer juge et partie, ce que le rapport de la Ciase décrit comme une des causes majeures de la surdité cruelle aux victimes ou/et de la non-adéquation de nos décisions.

La commission accueille et écoute toute personne victime d’un membre d’un institut religieux, y compris les personnes adultes vulnérables.

La CRR est composée d’un président, Antoine Garapon, ancien magistrat, d’un délégué général et d’une équipe de commissaires aux compétences pluridisciplinaires.

Consulter et télécharger la plaquette de présentation de la CRR

missions

La commission a reçu
quatre missions essentielles :

Offrir un espace d’écoute, de dialogue et de reconnaissance

Garantir un processus de réparation : offrir un processus de médiation, voire d’adjudication, avec l’institut en cause

Créer un centre d’archives, de ressources et de recherche

Sensibiliser sur le sujet des abus sexuels commis au sein de l’Église pour participer à la prévention.

CONTACT

Si vous avez été victime d’un religieux ou d’une religieuse, 
que vous ayez été mineur ou majeur au moment des faits, contactez la CRR :

feuilles de route

Le président de la CRR et la commission ont reçu de la Corref une feuille de route sous forme de lettre de mission :

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Cette commission est « tiers de justice ». Les décennies passées nous ont montré l’impossibilité de demeurer juge et partie, ce que le rapport de la Ciase décrit comme une des causes majeures de la surdité cruelle aux victimes ou/et de la non-adéquation de nos décisions.

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Cette commission est « tiers de justice ». Les décennies passées nous ont montré l’impossibilité de demeurer juge et partie, ce que le rapport de la Ciase décrit comme une des causes majeures de la surdité cruelle aux victimes ou/et de la non-adéquation de nos décisions.

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