Découvrir

les différents engagements

L’institut religieux de vie apostolique

À l’origine d’un institut religieux, il y a un fondateur, qui, lors d’une forte expérience spirituelle, a perçu un besoin de la société de son temps et s’est senti appelé à y apporter une réponse évangélique. Sur ses traces, des hommes ou des femmes, séduits par cette même réponse évangélique, ont répondu à l’envie de suivre le Christ de cette manière.
On s’y engage par la profession religieuse, fondée sur le sacrement du baptême. 

Consacrés à Dieu, autour de trois vœux :
pauvreté, chasteté, et obéissance, les religieuses et religieux se donnent tout entier au service de leurs frères, offrant au monde un témoignage visible du mystère du Christ. Tout institut religieux de vie apostolique inscrit sa mission dans celle de l’Église.

Les constitutions d’un institut religieux tracent un chemin d’Évangile particulier, dictant la manière dont les membres vivent en communauté fraternelle, prient ensemble, mettent en commun leurs biens, et reçoivent leur envoi en mission, mission pouvant se concrétiser dans des œuvres de charité très variées.

La vie monastique

Les moniales et moines sont des femmes et des hommes appelés par Dieu, et qui ont tout quitté pour suivre le Christ. Retirés dans un monastère ou une abbaye, ils vivent du travail de leurs mains, dans le silence et la prière. Mais ils accueillent aussi ceux qui viennent vers eux et portent le désir de mieux connaître leur vie.
Le monastère est aussi le lieu d’apprentissage de la vie communautaire. Hors du bruit du monde mais non coupés du monde, et au rythme quotidien de leur règle, les moniales et les moines cultivent un dépouillement qui invite à se ressourcer en Dieu.

La vie au monastère repose sur cinq piliers :
prière personnelle et communautaire, silence et solitude, vie fraternelle, étude, méditation et travail. Chaque ordre se les approprie ; c’est une page d’Évangile qui lui est confiée et qu’il est appelé à mettre en exergue, mais ce sont toujours les mêmes fondamentaux. Ainsi, comme les nuances d’une palette, la vie monastique et l’Évangile ont mille couleurs… Mais tous répondent à cette question initiale : « Qui cherches-tu ? »

Pour en savoir plus : www.service-des-moniales.cef.fr

L’institut séculier

Un institut séculier est un institut de vie consacrée, reconnu officiellement comme tel par l’Église. Il est de droit diocésain ou de droit pontifical. Il se caractérise par son charisme et une spiritualité propre. Il est laïque, féminin ou masculin, ou sacerdotal. Comme institution ecclésiale, l’institut accompagne chaque membre dans son état de vie consacrée séculière. Les laïcs vivent au cœur du monde.
Doté d’un statut canonique, il a une existence propre et autonome, avec une mission apostolique de l’intérieur même du monde.

L’appel inclut, à titre essentiel, l’impératif de demeurer au cœur des réalités où notre monde se construit : l’économique, le social, la culture, le politique, les migrations de populations sur tous les continents, l’internationalisation de toutes les situations, le spirituel, le destin de la Terre, la vie pastorale et presbytérale, entre autres.

À la différence de la vocation religieuse, l’Église reconnaît que l’engagement dans un institut séculier n’entraîne pas un changement d’état : les laïques demeurent laïques et les prêtres diocésains demeurent prêtres diocésains.

Pour en savoir plus : www.institut-seculier.fr

L’ordre des Vierges consacrées

Dans l’Église catholique, sont appelées vierges consacrées des femmes qui ont été consacrées à Dieu par l’évêque diocésain selon un rituel très ancien : la consécration des vierges. Elles ne sont ni laïques, ni religieuses. Cette vocation très ancienne remonte aux premiers siècles de l’Eglise. Elle a été remise en vigueur par le Concile Vatican, qui a adopté la révision du nouveau rituel de la consécration des Vierges en 1970. 

Les vierges consacrées vivent généralement seules, dans un contexte de vie ordinaire, même si elles peuvent s’associer entre elles. En vivant la sequela Christi, elles observent implicitement les conseils évangéliques, sans toutefois prononcer les trois vœux religieux de chasteté, pauvreté et obéissance. (Cf. Benoît XVI, discours du 15 mai 2008). Les vierges consacrées définissent personnellement la manière concrète de vivre leur vocation, en dialogue avec l’Évêque diocésain pour les orientations importantes de leur projet de vie.

Le nombre de vierges consacrées appartenant à l’Ordo Virginum (OV) est estimé à 7 000 dans le monde, dont 650 en France. Selon les pays et les régions, des services de communion peuvent être créés pour favoriser les liens fraternels entre les vierges consacrées et l’approfondissement de leur charisme. La consécration des vierges vivant dans le monde constitue un engagement définitif de vie. Elle nécessite un parcours de formation spécifique et de discernement, qui permet de vérifier l’authenticité de la vocation ainsi que la maturité humaine et spirituelle des candidates. Pour en savoir plus : https://ordovirginum.fr/

Les ermites

L’érémitisme est une pratique antique des Pères du désert. C’est une vocation singulière. Elle existe toujours aujourd’hui, aussi bien pour des femmes et des hommes qui ont discerné un appel à s’écarter du monde pour vivre pleinement leur relation à Dieu et porter le monde dans la prière, à l’image du Christ qui s’est souvent retiré dans le désert pour prier.

Le canon 603 du Code de 1983 et le Catéchisme de l’Église catholique permettent de découvrir trois formes de vie des ermites.
Les uns relèvent d’instituts religieux contemplatifs ou monastiques ; d’autres se sont consacrés entre les mains de l’évêque diocésain, par des vœux ou d’autres liens sacrés, dans la pauvreté, la chasteté et l’obéissance ; d’autres enfin, mènent la vie érémitique hors de cette consécration.

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L’institut religieux de vie apostolique

À l’origine d’un institut religieux, il y a un fondateur, qui, lors d’une forte expérience spirituelle, a perçu un besoin de la société de son temps et s’est senti appelé à y apporter une réponse évangélique. Sur ses traces, des hommes ou des femmes, séduits par cette même réponse évangélique, ont répondu à l’envie de suivre le Christ de cette manière.
On s’y engage par la profession religieuse, fondée sur le sacrement du baptême. 

Consacrés à Dieu, autour de trois vœux :
pauvreté, chasteté, et obéissance, les religieuses et religieux se donnent tout entier au service de leurs frères, offrant au monde un témoignage visible du mystère du Christ. Tout institut religieux de vie apostolique inscrit sa mission dans celle de l’Église.

Les constitutions d’un institut religieux tracent un chemin d’Évangile particulier, dictant la manière dont les membres vivent en communauté fraternelle, prient ensemble, mettent en commun leurs biens, et reçoivent leur envoi en mission, mission pouvant se concrétiser dans des œuvres de charité très variées.

La vie monastique

Les moniales et moines sont des femmes et des hommes appelés par Dieu, et qui ont tout quitté pour suivre le Christ. Retirés dans un monastère ou une abbaye, ils vivent du travail de leurs mains, dans le silence et la prière. Mais ils accueillent aussi ceux qui viennent vers eux et portent le désir de mieux connaître leur vie.
Le monastère est aussi le lieu d’apprentissage de la vie communautaire. Hors du bruit du monde mais non coupés du monde, et au rythme quotidien de leur règle, les moniales et les moines cultivent un dépouillement qui invite à se ressourcer en Dieu.

La vie au monastère repose sur cinq piliers : 
prière personnelle et communautaire, silence et solitude, vie fraternelle, étude, méditation et travail. Chaque ordre se les approprie ; c’est une page d’Évangile qui lui est confiée et qu’il est appelé à mettre en exergue, mais ce sont toujours les mêmes fondamentaux. Ainsi, comme les nuances d’une palette, la vie monastique et l’Évangile ont mille couleurs… Mais tous répondent à cette question initiale : « Qui cherches-tu ? »

Pour en savoir plus : www.service-des-moniales.cef.fr

L’institut séculier

Un institut séculier est un institut de vie consacrée, reconnu officiellement comme tel par l’Église. Il est de droit diocésain ou de droit pontifical. Il se caractérise par son charisme et une spiritualité propre. Il est laïque, féminin ou masculin, ou sacerdotal. Comme institution ecclésiale, l’institut accompagne chaque membre dans son état de vie consacrée séculière. Les laïcs vivent au cœur du monde.
Doté d’un statut canonique, il a une existence propre et autonome, avec une mission apostolique de l’intérieur même du monde.

L’appel inclut, à titre essentiel, l’impératif de demeurer au cœur des réalités où notre monde se construit :
l’économique, le social, la culture, le politique, les migrations de populations sur tous les continents, l’internationalisation de toutes les situations, le spirituel, le destin de la Terre, la vie pastorale et presbytérale, entre autres.

À la différence de la vocation religieuse, l’Église reconnaît que l’engagement dans un institut séculier n’entraîne pas un changement d’état : les laïques demeurent laïques et les prêtres diocésains demeurent prêtres diocésains.

Pour en savoir plus : www.institut-seculier.fr

L’ordre des Vierges consacrées

Dans l’Église catholique, sont appelées vierges consacrées des femmes qui ont été consacrées à Dieu par l’évêque diocésain selon un rituel très ancien : la consécration des vierges. Elles ne sont ni laïques, ni religieuses. Contrairement aux prêtres (religieux) ou aux religieuses, les vierges consacrées ne formulent pas les vœux d’obéissance, de chasteté et de pauvreté mais font vœu d’abstinence.

Aujourd’hui, on trouve plusieurs milliers de vierges consacrées, réparties sur les cinq continents. Elles sont membres du même Ordo Virginum (ordre des Vierges) tout en ayant des modes de vie, des professions, des engagements dans l’Église et dans la société extrêmement diverse.

La formation qui précède cet engagement se fait selon un programme d’accompagnement qui suppose des lectures, des échanges avec un accompagnateur spirituel et une personne déjà engagée dans l’ordre des Vierges consacrées.

Les ermites

L’érémitisme est une pratique antique des Pères du désert. C’est une vocation singulière. Elle existe toujours aujourd’hui, aussi bien pour des femmes et des hommes qui ont discerné un appel à s’écarter du monde pour vivre pleinement leur relation à Dieu et porter le monde dans la prière, à l’image du Christ qui s’est souvent retiré dans le désert pour prier.

Le canon 603 du Code de 1983 et le Catéchisme de l’Église catholique permettent de découvrir trois formes de vie des ermites.
Les uns relèvent d’instituts religieux contemplatifs ou monastiques ; d’autres se sont consacrés entre les mains de l’évêque diocésain, par des vœux ou d’autres liens sacrés, dans la pauvreté, la chasteté et l’obéissance ; d’autres enfin, mènent la vie érémitique hors de cette consécration.

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À l’origine d’un institut religieux, il y a un fondateur, qui, lors d’une forte expérience spirituelle, a perçu un besoin de la société de son temps et s’est senti appelé à y apporter une réponse évangélique. Sur ses traces, des hommes ou des femmes, séduits par cette même réponse évangélique, ont répondu à l’envie de suivre le Christ de cette manière.
On s’y engage par la profession religieuse, fondée sur le sacrement du baptême. 

Consacrés à Dieu, autour de trois vœux :
pauvreté, chasteté, et obéissance, les religieuses et religieux se donnent tout entier au service de leurs frères, offrant au monde un témoignage visible du mystère du Christ. Tout institut religieux de vie apostolique inscrit sa mission dans celle de l’Église.

Les constitutions d’un institut religieux tracent un chemin d’Évangile particulier, dictant la manière dont les membres vivent en communauté fraternelle, prient ensemble, mettent en commun leurs biens, et reçoivent leur envoi en mission, mission pouvant se concrétiser dans des œuvres de charité très variées.

La vie monastique

Les moniales et moines sont des femmes et des hommes appelés par Dieu, et qui ont tout quitté pour suivre le Christ. Retirés dans un monastère ou une abbaye, ils vivent du travail de leurs mains, dans le silence et la prière. Mais ils accueillent aussi ceux qui viennent vers eux et portent le désir de mieux connaître leur vie.
Le monastère est aussi le lieu d’apprentissage de la vie communautaire. Hors du bruit du monde mais non coupés du monde, et au rythme quotidien de leur règle, les moniales et les moines cultivent un dépouillement qui invite à se ressourcer en Dieu.

La vie au monastère repose sur cinq piliers :
prière personnelle et communautaire, silence et solitude, vie fraternelle, étude, méditation et travail. Chaque ordre se les approprie ; c’est une page d’Évangile qui lui est confiée et qu’il est appelé à mettre en exergue, mais ce sont toujours les mêmes fondamentaux. Ainsi, comme les nuances d’une palette, la vie monastique et l’Évangile ont mille couleurs… Mais tous répondent à cette question initiale : « Qui cherches-tu ? »

Pour en savoir plus : www.service-des-moniales.cef.fr

L’institut séculier

Un institut séculier est un institut de vie consacrée, reconnu officiellement comme tel par l’Église. Il est de droit diocésain ou de droit pontifical. Il se caractérise par son charisme et une spiritualité propre. Il est laïque, féminin ou masculin, ou sacerdotal. Comme institution ecclésiale, l’institut accompagne chaque membre dans son état de vie consacrée séculière. Les laïcs vivent au cœur du monde.
Doté d’un statut canonique, il a une existence propre et autonome, avec une mission apostolique de l’intérieur même du monde.

L’appel inclut, à titre essentiel, l’impératif de demeurer au cœur des réalités où notre monde se construit : l’économique, le social, la culture, le politique, les migrations de populations sur tous les continents, l’internationalisation de toutes les situations, le spirituel, le destin de la Terre, la vie pastorale et presbytérale, entre autres.

À la différence de la vocation religieuse, l’Église reconnaît que l’engagement dans un institut séculier n’entraîne pas un changement d’état : les laïques demeurent laïques et les prêtres diocésains demeurent prêtres diocésains.

Pour en savoir plus : www.institut-seculier.fr

L’ordre des Vierges consacrées

Dans l’Église catholique, sont appelées vierges consacrées des femmes qui ont été consacrées à Dieu par l’évêque diocésain selon un rituel très ancien : la consécration des vierges. Elles ne sont ni laïques, ni religieuses. Contrairement aux prêtres (religieux) ou aux religieuses, les vierges consacrées ne formulent pas les vœux d’obéissance, de chasteté et de pauvreté mais font vœu d’abstinence.

Aujourd’hui, on trouve plusieurs milliers de vierges consacrées, réparties sur les cinq continents. Elles sont membres du même Ordo Virginum (ordre des Vierges) tout en ayant des modes de vie, des professions, des engagements dans l’Église et dans la société extrêmement diverse.

La formation qui précède cet engagement se fait selon un programme d’accompagnement qui suppose des lectures, des échanges avec un accompagnateur spirituel et une personne déjà engagée dans l’ordre des Vierges consacrées.

Les ermites

L’érémitisme est une pratique antique des Pères du désert. C’est une vocation singulière. Elle existe toujours aujourd’hui, aussi bien pour des femmes et des hommes qui ont discerné un appel à s’écarter du monde pour vivre pleinement leur relation à Dieu et porter le monde dans la prière, à l’image du Christ qui s’est souvent retiré dans le désert pour prier.

Le canon 603 du Code de 1983 et le Catéchisme de l’Église catholique permettent de découvrir trois formes de vie des ermites.
Les uns relèvent d’instituts religieux contemplatifs ou monastiques ; d’autres se sont consacrés entre les mains de l’évêque diocésain, par des vœux ou d’autres liens sacrés, dans la pauvreté, la chasteté et l’obéissance ; d’autres enfin, mènent la vie érémitique hors de cette consécration.